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Il paraîtrait qu'après avoir atteint un certain stade de la solitude, le corps créerait les stigmates du manque. Il se détériorerait, comme anémié par l'absence de tendresse.
Un peu d'ocytocine, est né d'une solitude crue. Si la photographie est une trace, et que chaque rencontre dans ma vie en est une sur ce que je suis devenue, cette série se veut donc être le récit de ce qui me lie aux personnes rencontrées.
J'ai cherché le contact des peaux, des gestes, de ce qui parfois, reste.
(Projet en cours)